Ces adolescents qui évitent de penser : pour une théorie du soin avec médiation.
CATHELINE, Nicole ; MARCELLI, Daniel
Toulouse
2011
256 p
"La vie devant eux"
pp 251-254
978-2-7492-1357-6
Erès
L'entrée en adolescence réactive les manifestations anxieuses et suscite l'excitation. S'ils en attribuent l'origine à des mécanismes divers, tous les spécialistes s'accordent sur les conséquences cliniques : l'angoise inhibe la pensée, l'excitation la désorganise. Lorsque le processus se grippe, la douleur à penser pousse au renoncement à utiliser toute émergence d'une pensée personnelle. Comment dégager l'adolescent de cette impasse ?
Alors que les approches psychothérapeutiques classiques se révèlent difficiles voire inefficaces, les auteurs ont développé un travail de soin avec médiation pour relancer le plaisir à penser chez ces adolescents, le plus souvent en échec scolaire (phobie scolaire, décrochage, etc.). Au plus près de leur pratique clinique dans un hôpital de jour, ils proposent ici une théorisation qui vient prolonger et « pousser à bout » les travaux de Winnicott sur l'espace transitionnel.
ADOLESCENT ; SOIN MEDICAL ; MEDIATION ; ADOLESCENCE ; ANGOISSE ; PSYCHOTHERAPIE ; ECHEC SCOLAIRE
Prêt
N° | Cote | N° d'inventaire | Conditions de diffusion | ||
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1 | B 31 MAR | 27774 | Prêt |