Plus de 2 000 jeunes pour 200 000 actes délictueux. La justice doit répondre à la fois à une aggravation de la délinquance des mineurs et à l'inquiétude d'une société qui demande le renforcement des punitions, en particulier celle qui consiste à priver de liberté.
Mais l'incarcération est-elle le bon remède à cette délinquance débutante ? Comment évalue-t-on les effets de la détention sur des personnalités encore fragiles ? Peut-on sérieusement ...
PRISON ; MINEUR ; délinquance juvénile ; JUSTICE ; EDUCATION ; INSERTION SOCIALE