A partir de l'accompagnement des jeunes mineurs non-accompagnés de Calais, le dossier donne à voir les contradictions administratives qui encadrent l'aide des associations caritatives sur place.
Alors que légalement, ces jeunes devraient être protégés, hébergés, soignés et scolarisés, ils restent sur le campement évacué toutes les 48 heures. Quelques-fois, au nom de l'intérêt supérieur de l'enfant, les démarches des associations restent en ...

COHESION SOCIALE ; mineurs non-accompagnés ; AIDE SOCIALE A L'ENFANCE ; ASSOCIATION CARITATIVE ; MIGRANT