La mise en place aux États-Unis et en Grande Bretagne de lois contre le « bias » ou « hate crime » de même que d'une police associée, ont favorisé le développement d'une réflexion sociologique sur les déterminants sociaux des crimes de haine visant des minorités.
La présente étude superpose l'analyse anglo-saxone au cas français, contestant notamment la thèse du « quartier à défendre » et lui substituant le « racisme de proximité » et « le ...

COHESION SOCIALE ; RACISME ; MINORITE ; DISCRIMINATION ; VIOLENCE ; CRIME ; SOCIOLOGIE ; TERRITOIRE ; ESPACE PUBLIC