Dans la France de l'après guerre, les mineures délinquantes sont assimilées par l'institution judiciaire à des "filles de mauvaise vie" et placées dans des institutions religieuses, alors que les garçons sont incarcérés.
Après 1968, elles sont suivies en éducation surveillée par ce qui deviendra la PJJ sans pour autant échapper aux stéréotypes de genre hérités des religieux.
Le mécanisme d'assignation est révélateur des inégalités de genre, ...

vulnérabilité ; JUSTICE ; JEUNE FILLE ; JEUNE DELINQUANT ; HISTOIRE ; PJJ ; ADOLESCENTE ; EDUCATION SURVEILLEE