La participation électorale peut-être vue comme un bon indice d'intégration au sens le plus large : on vote d'autant plus que l'on est diplômé, bien inséré professionnellement et que l'on trouve autour de soi des personnes politisées.
La non-inscription, mal-inscription et le fait d'être étranger déforme le corps électoral essentiellement au détriment des jeunes et des classes populaires, explique le document.
VIE POLITIQUE ; DROIT DE VOTE ; JEUNESSE ; STATISTIQUE ; MILIEU SOCIAL ; ELECTION