Les étudiants français se représentent leurs trajectoires d'études puis de vie au travail comme le passage dans un long tunnel sans retour en arrière possible.

En sont-ils pour autant responsables ? Ne
peut-on pas y voir le résultat d'une organisation singulière de notre système d'enseignement supérieur ?

L'auteur suggère dans cette note quelques pistes de réponse à ces questions en comparant les systèmes français, anglais et suédois.

ETUDIANT ; Parcours scolaire ; SYSTEME EDUCATIF ; ANGLETERRE ; ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; ORIENTATION SCOLAIRE ; SUEDE ; ORIENTATION PROFESSIONNELLE