La vie collective dans les quartiers populaires se structure selon une divison sexuée de l'espace et des lieux. Les garçons "trônent" au bas des immeubles, les filles, toujours en plus faible proportion, se regroupent en fonction de leur temps libre et des espaces disponibles. Car hommes et femmes du quartier ont des espaces "réservés", identifiés par l'ensemble des groupes, et l'usage veut que l'on respecte ces "périmètres". L'accession à ...
EDUCATION ; JEUNE FILLE ; SEXE MASCULIN ; DISCRIMINATION ; SEXISME ; MIXITE